Le grand crime des bien pensants

Ce qui vient de se passer à Nice l’illustre et l’aggrave. Cette horreur prend la suite de celles que nous avons connues en France depuis deux ans, pour faire court, comme de celles commises contre les chrétiens d’Orient que nous n’avons pas voulu connaître ! Elle en annonce d’autres, les bien pensants, demeurant pour l’instant les « mieux disant » aux enchères et aux surenchères qui étendent la tyrannie du pouvoir de l’argent.

Car il ne faut pas s’y tromper, quand Bernanos publie en 1931 « La grande peur des bien pensants », il veut lutter contre « la dictature de l’argent qui se révèle comme l’un des obstacles fondamentaux dressés dans la vie des hommes, contre l’irruption du surnaturel, contre la fidélité au message de pauvreté du Christ. »

Vu son temps et son éducation, il concentre ses reproches sur les juifs, suivant en cela les idées de Drumont. On doit le regretter et surtout ne pas réduire ce livre à une œuvre antisémite ! Même si l’ouvrage en a cette coloration, il n’en demeure pas moins prophétique en dénonçant « la dépossession progressive des états au profit des forces anonymes de l’industrie et de la Banque, cet avènement triomphal de l’argent qui renverse l’ordre des valeurs humaines et met en péril tout l’ordre de notre civilisation. »

Les bien pensants de 1931 ont mené aux horreurs de la seconde guerre mondiale, avec ses crimes contre l’humanité que Bernanos condamnera d’ailleurs. Leur grande peur traduite par leur pacifisme aveugle devant le nazisme se gargarisait déjà des valeurs supérieures de la démocratie. Résultat : la débâcle de 1940.

Et cela n’a pas servi de leçon. Au nom de l’argent roi, on a construit une Europe, sans souci de rechristianisation – alors que certains politiques en avaient compris la nécessité après le règne du néo-paganisme hitlérien – et sous la menace du communisme qui n’en était qu’une autre version. Ainsi a-t’on donné une monnaie unique a l’Europe sans gouvernance économique unique ce qui, d’une part, encouragea à la fabrication de « fausse monnaie » et de produits financiers lui correspondant, et d’autre part accéléra le rejet des freins naturels de ce matérialisme destructeur : la foi chrétienne. Et je parle d’accélération, parce que celle-ci, à condition qu’elle soit exprimée dans sa vérité est la seule à pouvoir s’opposer « au tout financier » et questionner utilement l’islam, voire à l’embarrasser…

Le crime de nos dirigeants, et il ne date pas que de 2012, c’est de s’être tellement drapés dans leur bien pensance laïque et républicaine, qu’ils se sont voilés la face devant les réalités de l’heure ! Leurs propos sont autant de « burkas » dont la couleur noire annonce la mort, et ils ouvrent ainsi les barrières à des camions meurtriers, comme hier aux bombes et aux mitraillettes, et demain à quoi d’autres ?

Que de temps a-t’on mis pour parler de terrorisme islamiste ? On aurait préféré sans doute s’en tenir à psalmodier : « Je suis Charlie » avec tout le chœur des bien pensants ! Finalement, le président de la république a parlé, dans la cour des Invalides, d’islam dévoyé ! A-t’il des lumières particulières pour interpréter certaines sourates du Coran ou encore des imams « élyséens » aussi dévoués que son coiffeur ? Quels musulmans veut-on ménager ? Ceux de France ? Ce n’est vraiment pas leur intérêt sur le long terme. Il faut aborder avec eux les sujets qui fâchent, et exiger des éclaircissements. L’Etat serait dans son rôle de garant de l’ordre public en demandant cela ! Mais il ne le fait pas, ou il le fait mal si j’en crois ceux qui me disent qu’il aurait rempli sa mission. Les français ont le droit de savoir quel genre de précisions ont été données par les musulmans de France, à qui, et surtout, quels étaient de part et d’autre les degrés de représentativité.

Mais je serai plutôt enclin à croire que la « Tête » du pouvoir de notre pays manifeste aux musulmans de France le même sentiment qu’aux chrétiens : le mépris ! Pourvu qu’ils payent et votent, bien !!!!! Qu’ils chantent ce qu’ils veulent… !

Rétifs à l’odeur du thé à la menthe des mosquées autant que de l’encens des églises, le pouvoir politique français ne l’est point vis-à-vis des émanations du pétrole ! Il vaut plus cher que le sang des chrétiens, comme le suggère le titre d’un récent ouvrage. On n’ennuiera donc pas les pays producteurs sur leur islam, on les laissera subventionner nos mosquées dont on continuera à encourager la construction, on permettra à des ressortissants d’autres pays musulmans de rester en France, malgré des condamnations, certes faibles grâce à la justice « Taubirienne », mais on hésitera à accorder le séjour à d’autres musulmans, surtout s’ils veulent devenir chrétiens, poussant même le vice jusqu’à leur demander des preuves écrites des risques de persécutions qu’il encourent, poussant ces malheureux à désigner de futures cibles à des égorgeurs.

Heureusement, ils ne le font pas, se souvenant que les deux policiers assassinés chez eux avaient été suivis quelques jours par leur meurtrier, tout comme le camionneur de Nice était venu repérer les lieux avant le massacre. Aussi les bien pensants doivent-ils arrêter de tromper les français. En cinquième république, tout dépend du chef de l’Etat pour ce genre d’affaire. Il faut donc désigner clairement l’adversaire et faire de l’anéantissement de Daech un but majeur, que la France seule ne peut assumer. Cela peut donc conduire à revoir notre politique étrangère ! Parallèlement, l’Eglise doit dire clairement ce que l’islam est pour le christianisme et compléter Vatican II sur cette question précise. Et ce christianisme là sera d’autant plus miséricordieux qu’il sera vrai, évitant des célébrations ambiguës au profit de réels dialogues.

Enfin, et, à regret j’en reviens au politique, car dans l’urgence où nous sommes il détient sur le plan intérieur une grande partie de la solution. Puisque nous sommes en guerre, il faut décréter une loi martiale qui prévoit la peine de mort (seul vrai moyen de déradicalisation) et le recours à la justice militaire pour tout ce qui a trait au terrorisme. Je le dis comme prêtre et comme citoyen, sans craindre de transgresser notre année de miséricorde, en donnant tout simplement la priorité aux victimes dont le sang crie jusqu’à Dieu.

21 commentaires

  1. Bonsoir et merci beaucoup.

    Je précise ou rappelle que si nous en sommes là où nous en sommes, c’est aussi à cause de déjà un peu plus de trois décennies de « déni-alogue » interreligieux, en général, et de « dhimmi-allohgue » islamo-chrétien, en particulier.

    Certes, je ne suis évidemment pas opposé à un maximum de coexistence pacifique, de compréhension mutuelle, de coopération réciproque, entre les croyants en général, et entre les chrétiens et les musulmans, en particulier, notamment dans le respect de la loi naturelle et de la personne humaine, et dans le souci du bien commun et de la vérité objective.

    Mais je ne suis pas davantage opposé à un maximum de lucidité, au sein même de l’Eglise catholique, sur le fait que la conception ou, en tout cas, la pratique dominante du dialogue interreligieux et du dialogue islamo-chrétien, ressemble fréquemment, en réalité, à du « déni-alogue » interreligieux et à du « dhimmi-allohgue » islamo-chrétien.

    En d’autres termes, s’il y a bien, d’un côté, une sorte de « salafisation » des esprits, il y a aussi, de l’autre côté, un type de « dhimmitisation » des esprits, et cette salafisation est plutôt encouragée par cette dhimmitisation, qui est souvent imposée ou, en tout cas, inspirée aux fidèles, par des théologiens et des évêques catholiques, plus ou moins bien intentionnés.

    En écrivant ces quelques mots, je ne pense pas avant tout ni seulement à la tragédie de Nice, mais je pense avant tout à la nécessité, pour bien des clercs catholiques, de tirer parti des événements de l’année 2015 et de l’année 2016, pour commencer à entamer un examen de conscience, sur le fait que la pratique dominante du dialogue interreligieux et du dialogue islamo-chrétien débouche fréquemment

    – sur du silence de l’Eglise catholique, bien plus que sur l’annonce ad extra, courageuse, dissensuelle, en un mot : missionnaire, de Jésus-Christ,

    – sur de l’exhortation à la soumission, destinée aux catholiques, bien plus que sur de l’exhortation à la conversion, dirigée vers les musulmans.

    En l’occurrence, la soumission qui est ainsi prescrite aux catholiques, par certains de leurs clercs, n’est pas avant tout une soumission à l’islam, mais est avant tout une soumission à un certain regard, plus iréniste que réaliste, et à une certaine vision, des plus ignorante, sur la Charia, le Coran, les Hadiths, la Sira, la Sunna, le jihad, la taqiya, les dhimmis, etc., les catholiques qui ne veulent pas se soumettre à ce regard, ou s’en remettre à cette vision, s’exposant fréquemment à une mise en cause de leur exclusivisme, de leur intransigeance, de leur obscurantisme, sinon de leur « islamophobie ».

    Je sais bien que toute vérité n’est pas bonne à dire, mais je sais aussi que toute vérité n’est pas bonne à taire, d’où ces quelques mots, qui portent sur un problème qui n’a certes pas attendu janvier 2015 pour commencer à se manifester, et qui, vraisemblablement, continuera certainement à le faire, au-delà de l’année 2016.

    http://www.lefigaro.fr/vox/religion/2016/01/22/31004-20160122ARTFIG00344-islam-et-christianisme-les-impasses-du-dialogue-interreligieux.php

    Bonne soirée et excellente continuation.

    A Z

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  2. Un billet intelligent et lucide, ce qui n’est pas courant.
    Et sans « bien pensance » ce qui est rare.
    Il est dommage que vous ne soyez pas (encore ?!) évêque pour redonner à ceux-ci le courage chrétien qui leur manque et qui les empêche de nous réunir.
    Merci.

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  3. Vous avez parfaitement raison, mon Père. Merci de ce billet.
    Et pour répondre à Montalte : oui la peine de mort est justifiée. Nous sommes tout à fait en légitime défense. Sauf si on accepte de se laisser mener à l’abattoir.
    Quant à la CEE, Montalte, que le Vatican rende à César ce qui est à César et ne se mêle pas de politique.

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  4. […] Car il ne faut pas s’y tromper, quand Bernanos publie en 1931 « La grande peur des bien pensants », il veut lutter contre « la dictature de l’argent qui se révèle comme l’un des obstacles fondamentaux dressés dans la vie des hommes, contre l’irruption du surnaturel, contre la fidélité au message de pauvreté du Christ. » lire la suite et source […]

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  5. Enfin un curé qui parle vrai et qui n’est pas dans la « miséricorderie » qui dégouline de partout en ce moment en dépouillant de sa signification le vrai terme de « miséricorde » telle que la Bible nous l’a transmise.
    Bravo mon Père.

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  6. La peine de mort? Ouais, comme Erdogan, quoi…
    Il conviendrait de se rappeler l’Enseignement de l’Eglise à ce sujet. Qu’elle est illégitime sauf si c’est le seul moyen de légitime défense. On est loin du compte. Qu’on commence par mettre en place des mesures de sécurité de bon sens. En outre, quand les djihadistes se suicident, quel intérêt de les menacer de la peine de mort? Le manque de discernement de ce bon Père est sidérant!
    Ensuite, qu’est-ce que la monnaie unique vient faire là-dedans? L’Europe est malade de sa déchristianisation, pas de sa monnaie. Ou alors il suffirait de tous passer au zloty pour devenir pieux comme des Polonais? L’argument est inepte.
    Ensuite, je suis fatiguée de ces catholiques dévoyés qui, au lieu de défendre le projet européen et le rechristianiser, le détruisent. Il faut se rappeler que la CEE est un projet voulu par le St Siège, porté par des catholiques convaincus (les pères fondateurs comme Gasperi, Adenauer, le procès de béatification de Schuman est en cours) et dont le drapeau est composé des 12 étoiles de la Femme de l’Apocalypse, sur fond bleu marial.
    Enfin, au lieu de brandir la peine de mort, qui ici est allé sur place aider les chrétiens persécutés? les accueille sur le canapé de son salon? est bénévole dans une association? Fait de l’évangélisation de rue auprès des musulmans? Nos concitoyens incroyants ont besoins d’être évangélisés, pas guillotinés!

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    1. Vous rêvez d’une Europe totalement irréelle, ouvrez les yeux! Qu’est ce que l’Europe actuelle a à voir avec le projet européen de Schuman? Croyez-vous que la politique de l’avortement pour tous ou l’euthanasie généralisée étaient dans les projets de départ (Schuman le chrétien serait outré !) ? Croyez-vous que l’enseignement du gender et les soutiens aux groupes LGBTà l’école était porté par les fondateurs? Croyez-vous que la politique atlantiste (OTAN) , pro-américaine ( traité Trans-Atlantique) étaient dans les projets de Schuman? Croyez-vous que la politique belliqueuse anti-russe ( De Gaulle le véritable européen serait scandalisé) et le soutien aux pétro-monarchies du golfe ( et donc des réseaux islamistes soutenus par eux) étaient dans les agendas? Croyez-vous que le projet de faire entrer la Turquie en Europe était prévue? Croyez-vous que la ruine des pays comme la Grèce, l’Espagne ou le Portugal était au programme? Croyez-vous que les banques qui ont joué avec l’argent du contribuable et qui dirigent la politique générale de l’Europe étaient dans l’idéal des fondateurs? Croyez-vous que cette institution dirigée par un quarteron de technocrates non élus soit un modèle de démocratie?
      Quelle est le fond de la pensée de certains dirigeants européens qui font entrer par millions des réfugiés musulmans dans leur immense majorité en total décalage avec la sociologie des pays forcés d’accueillir ? Et ne dites pas que c’est par « miséricorde » car ces froids calculateurs ont un autre projet d’un cynisme effrayant, celui de faire disparaître l’identité des pays ainsi nivelés au profit de territoires de consommateurs dociles. Et vous vous étonnez que la Pologne veuille rester en dehors de toute cette folie?
      L’Europe telle qu’elle est une aberration, un monstre qui n’aurait jamais dû être. Et ne rêvez pas de rechristianisation, il n’y en aura pas. Et le coup des 12 étoiles pour Marie sur fond bleu alors là c’est un scoop! Depuis quand l’Europe s’est convertie ? Il y en a un qui doit bien rigoler ( celui dont la tête sera écrasée précisément par la femme couronnée d’étoiles) . L’Europe est une zone de déconstruction d’identité et de nihilisme, un projet mortifère duquel il faut s’échapper si on peut encore le faire. Dieu nous vienne en aide.

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    2. La peine de mort est totalement justifiée dans l’enseignement de l’Eglise Catholique, quand elle est fait par l’Etat. Les individus ne peuvent pas se faire justice privés mais l’Etat peut tout a fait condamner a mort un individus quand cet individu est dangereux pour le reste du corps social. (De même vous n’avez pas droit de vous mutiler mais si votre jambe doit etre amputé pour raison vitale, alors vous devez le faire pour votre bien general). En outre, tous les criminels ne peuvent pas etre « guéris » et se reinserer. Dans ce cas la, la peine de mort est bien moins cruelle que l’enfermement a vie.
      La grande majorité des théologiens catholiques ont toujours été pour la peine de mort.

      En outre, je ne vois pas en quoi les catholiques (ou pas) devraient défendre le projet européen. Aimer sa patrie est normal, cela fait partie de notre catéchisme et vouloir le bien commun de notre peuple aussi. Si l’Europe échoue à nous proteger et a défendre notre culture et civilisation je ne vois pas au nom de quoi je defendrai l’UE. On peut etre en paix avec nos voisins, s’apprécier, commercer, sans cette UE politique qui est aujourd’hui très souvent detestable, méprisant des peuples et qui pietienne souvent ouvertement nos valeurs et identités chrétiennes.

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    3. Vous assimilez des choses très différentes… Ainsi peine de mort et justice militaire, et ce que pratique monsieur Erdogan, sans procès (vouez ces gens aux visages abîmés, ex-généraux, ces soldats lynchés, dêcapités, fouettés. D’ailleurs qui pourrait encore rendre justice puisque plus de 2000 magistrats ont été ou arrêtés ou révoqués).
      Les temps de guerre appellent des actes différents des temps de paix. Ceux qui ne prêparent pas la guerre, comme avant 39 font le lit des extrémistes…
      Par ailleurs il y a quelques suicidaires chez les daéchiens… Mais ce n’est pas la majorité…cf les miliciens fuyant les lieux de combat en Syrie et Irak, à l’approche des armées du pays, à croire que les promesses d’après martyre, et drogue ne suffisent pas…

      En temps de guerre ce n’est pas la sentimentalité qui permet de se défendre, non?
      Quant à la construction de l’Europe, est-ce que que représente l’UE, dont les dirigeants affirment les uns après les autres, qu’il ne faut pas interroger les peuples? Et sont au service d’une puissance étrangère dorénavant?
      Même si l’Église catholique avait pris partie en tant que telle en ce qui concerne l’UE -ce qui nést pas le cas- il ne s’agirait là que d’un avis, dans un domaine où elle est loin de jouir de l’infaillibilité…n’est-ce pas?
      Êtes-vous assurée que Schuman appuierait Juncker, Barroso et cie?

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    4. Je suis de votre avis Montalde. il faut surtout évangéliser, apporter la bonne nouvelle comme le christ nous l’a enseigné. le mal francais est surtout sa dechristianisation.
      en ouvrant son coeur au christ et en suivant ses preceptes, le pays irait mieux. comme le christ disait, JE SUIS LE CHEMIN, La verite et la vie. donc tout passe par lui.
      .je suis convaincu que de nombreux musulmans vont se convertir prochainement.

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  7. Ce prêtre est pour la peine de mort, pas moi : Parce que je suis chrétien !
    Laissons cela aux goulags, aux camps nazis, à la terreur sous la Révolution Française…

    À part ça (si l’on peut dire), je suis d’accord avec une bonne partie de son discours.

    Meltoisan

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    1. Parce qu’être pour la peine de mort c’est être nazi? Nous vivions donc sous des gouvernement nationaux socialiste jusqu’en 1981 et beaucoup de français sont donc nazis. Vous avez gagné un point Godwin à coller sur votre album des raccourcis stupides et des comparaisons ineptes. Et puis en quoi le fait d’être chrétien c’est à dire soucieux du salut de votre prochain est-il incompatible avec l’appel à la peine suprême pour ceux qui ruinent la paix de la cité qui est un don de Dieu et fauchent la vie de vos frères? Priez pour le meurtrier mais que justice passe.

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    2. La peine de mort en temps de guerre, et la justice militaire…Des chrétiens ont été soldats, jusque récemment. Et ont utilisé de vraies armes contre de vrais ennemis..pas des pistolets à eau, sous prétexte de foi…
      D’ailleurs il est un devoir pour le chrétien de défendre sa vie. Et la vie de ses proches…sans haine, d’où l’évolution des armées occidentales jusque, disons, récemment, et dans une riposte graduée, sans esprit de vengeance donc…
      Ce qui est déjà pas mal, non?

      Si vous jouissez d’ une fortune assez confirtable pour créer vous-même et assumer des structure de garde, rééducation ( ??) d’ennemis haineux de l’occident, surtout lancez-vous…
      Car voyez-vous nos impôts ne suffisent plus à garantir le minimum de lits et de personnels, ni dans les hœpitaux, ni dans les prisons.

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  8. Vous écrivez en parlant des politiques qu’ils sont « rétifs à l’odeur du thé à la menthe des mosquées autant que de l’encens des églises ».

    Au vu des nombreuses « ruptures de jeûne » effectuées par nos politiques de tout bord pendant le Ramadan, il est permis de douter de la première partie de votre assertion.

    Pour la seconde partie, en revanche, vous avez raison – exception faite des messes post-attentats (Nice, Paris…) où il est de bon ton de se montrer devant les caméras de la grosse presse.

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  9. Merci pour votre courage et votre lucidité, dans plusieurs paroisses de France les homélies
    nous demande toujours et toujours d’accueillir l’étranger et les religions venus d’ailleurs
    enfin toujours le même refrain.

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